Modifications, mises à jour, compléments Ce site est un site vivant qui se met à jour et qui bénéficie des remarques qui me sont faites retour à la page d'accueil En juillet 2025 ; une étude sur l’équilibre entre une production à partir de gaz fossile et d’EnRI selon la capacité de nucléaire : 63 GW ou autour de 100 GW. Cela fait apparaître éolien et photovoltaïque en France comme des énergies de transition : des tableaux montrant les résultats de plusieurs jeuxd’hypothèses, une « photo » de l’écran d’accueil de SimelSP3 montrant toutes les hypothèses sur la consommation et les caractéristiques et les coûts des moyens de production et de stockage En juin 2025 : présentation de la nouvelle version de l'outil de simulation du système électrique, SimelSP4, qui représente le marché français en relation avec un marché extérieur (l'Europe moins la France) dans la limite de la capacité des lignes d'interconnexion. Avec SimelSP4, une réplique de la situation observée en 2024, et l'étude de quelques variantes ; et, pour 2035, une réplique du projet de PPE avec quelques variantes. Une nouvelle page a été ouverte : SimelSP4. En
mai 2025 : La
note brève de janvier 2025 a été mise sur la
page les notes
brèves : "un projet de Stratégie
énergie cimat qui s'écarte de ses propres
objectifs" . En septembre 2024 : l'écran d'accueil a été modifié pour mettre en exergue les quatre sujets sur lesquels ce site internet propose un éclairage différent de ce qui se dit le plus souvent : reporter la date de neutralité carbone à 2070 et éviter des émissions de CO2 là où c'est le moins coûteux ; des outils pour pouvoir comprendre et critiquer ce que l'on nous répète ; le coût de l'hydrogène produit pas électrolyse ; les moyens de la politique publique. On a ajouté deux notes brèves récentes dont "le devoir de vérité". En juin 2024 : une notice présentant une nouvelle version du simulateur du système électrique : SimelSP4 simule aussi le fonctionnement du marché de l'électricité : le prix de l'électricité heure par heure, le résultat économique de chaque moyen de production et de stockage, le prix moyen, le coût moyen sur une année. En mai 2024 : une nouvelle note brève : Pour une politique de l'énergie qui recueille confiance et adhésion En avril 2024 : La page monde a été complétée pour aborder la question du financement des investissements dans des pays pauvres notés triple C par les agences de notation : la nouvelleprocédure des JETP, joint energy transition partnership, qui associent un pays en développement et plusieurs pays qui lui apportent une aide ; un entretien avec Lionel Zinsou, ancien premier ministre du Bénin ; des coopérations bilatérales dont la portée peut déborder le cas de l'énergie. En mars 2024 : La notice technique de SimelSP3 a été relue et légèrement modifiée. En janvier 2024 Une nouvelle note brève : Une autre politique de l’énergie : efficacité, simplicité et respect de la liberté de chacun. Voir ici toutes les notes brèves. En décembre 2023 : Commentaires sur le projet de Stratégie française énergie climat, SFEC, et sur la Programmation pluriannuelle de l'énergie, PPE et une nouvelle page, l'énergie en 2035. En novembre 2023 : Au sujet de l'hydrogène deux études : 1- une analyse du coût de production d'hydrogène par électrolyse ; c'est une reprise complétée de l'étude publiée en mai. Le coût de l'hydrogène est la différence de dépenses totales de deux systèmes intégrés de production d'électricité et d'hydrogène avec la même consommation finale d'électricité et plus ou moins de production d'hydrogène. Le résultat dépend des autres utilisations possibles de l'électricité, parmi lesquelles la chaleur, et aussi du parc de production et de la façon dont sa capacité est modifiée. 2- Une étude qui calcule le total des dépenses pour répondre à une demande d'électricité, d'hydrogène et de chaleur avec une production d'hydrogène et de chaleur à partir d'électricité ou d'autres sources. Entre autres résultats, cela permet de voir dans quelles conditions il est utile de produire de l'hydrogène à partir de l'électricité du réseau, et de mesurer le service rendu par la production de chaleur. Voir la page hydrogène En octobre 2023 : Un nouveau document sur le sujet qui me paraît le plus important aujourd'hui : une coopération avec quelques pays africains permettra d'éviter plus d'émissions qu'une politique solitaire. Même si les émissions évitées sont peu de chose à l'échelle mondiale, du moins, par cette coopération, aurons-nous contribué au développement de ces pays. Une conférence à Grenoble : donner du sens à la transition énergétique En septembre 2023 : Le programme de transition énergétique préparé d'une part est très coûteux. Une "nouvelle note brève" Energie : le temps est venu de décisions politiques d'ampleur propose une autre approche qui d'une part est beaucoup moions coûteuse et d'autre part s'inscrit dans un vrai projet politique comportant un volet diplomatique très consistant - ce qui n'est pas pour surprendre si l'on voit que le CO2 ignore les frontières. En juillet 2023 : la page sur la prospective de l'électricité (2050-2070) a été remaniée pour plus de clarté. Notre "scénario de référence" tient compte des besoins exprimés par le transport maritime et le transport aérien. Il suppose que la production d'hydrogène est de 3 millions de tonnes par an et que la consommation totale d'électricité (avant les pertes en ligne) est 930 TWh. Une note de commentaires montre comment a été construit le parc de production et de stockage d'électricité et de production d'hydrogène. En juin 2023: une réflexion sur la sobriété : un article paru dans la Revue des ingénieurs des ponts, de l'agriculture et des forêts : les injonctions à la sobriété (une belle vertu) et les défauts de la poilitique de l'énergie. Une note brève : Climat : des buts pouvant enthousiasmer la jeunesse En
mai 2023:
la notice technique du simulateur SimelSP3 a été
complétée pour décrire
comment il calcule le coût de production de l'hydrogène
: ou
bien à
partir des fraix fixes de l'électrolyse et du coût
payé pour l'électricité, ou
bien comme
la différence de dépenses totales de deux systèmes
intégrés de production d'électricité
et d'hydrogène avec la même consommation finale
d'électricité et plus ou moins de production
d'hydrogène. Attention ! Cette méthode appremment
"de bon sens" peut donner des résultats
fallacieux. En
mars 2023:
un cadrage pour élaborer des scénarios de
production et consommation
d'électricité en 2035 :
une réponse à
la consultation faite par RTE En février 2023 : une étude a été ajoutée, qui évalue le coût pour l'économie française de l'intégration des marchés de l'électricité. Elle compare deux marchés autonomes de type français et allemand à un marché unifié, calcule le prix payé par les consommateurs, les bénéfices des producteurs, notamment le producteur d'électricité nucléaire et en déduit le coût ou l'avantage pour chaque pays du marché unifié comparé à deux marchés autonomes. En janvier 2023 : la page sur la politique de l'électricité a été légèrement modifiée, en relation avec le débat qui s'ouvre sur le marché de l'électricité. En décembre 2022 : Une page a été ajoutée : "avons-nous réellement besoin d'éoliennes sur terre ?" ; une note brève a été diffusée début janvier 2023. Quelques améliorations ont été apportées au simulateur SimelSP3, en particulier pour calculer les variations en une heure de la production nucléaire en respectant les limites de la flexibilité de cette production et pour mesurer le niveau de flexibilité demandé à l'électrolyse (un point dont on ne saurait trop souligner l'importance). La version antérieure SimelSP2 a été retirée. La notice présentant SimelSP3 et la façon de l'utiliser a été revue et sa présentation rendue - on l'espère - plus lisible. En
octobre 2022:
Quelques modifications ont été apportées au
logiciel SimelSP3,,
sans effets significatifs sur les résultats. Entre autres
choses, l'utilisateur introduit séparément les
données relatives aux Steps d'une part, aux possibilités
de modulation de la production hydraulique, d'autre part. En
juillet 2022:
une nouvelle "note brève" et une
nouvelle page sur un thème absent du débat
public et qui me paraît pourtant essentiel : le
CO2 ignore les frontières
;
donc, vouloir être "neutre en carbone" vingt ans
avant les autres n'est certainement pas la méthode la plus
efficace. Pour la France, c'est encore plus stupide car cela ne
nous laise pas le temps de reconstituer un parc nucléaire
qui nous permettrait d'atteindre la neutralité carbone en
dépensant beaucoup moins en producton et conomie
d'énergie. En février 2022 : Des commentaires sur le programme de production d'électricité annoncé à Belfort par le Président de la République le 10 février 2022 ; et une note brève sur le même sujet. Quelques améliorations du logiciel SimelSP2 pour une étude plus fine des conséquences du fait que la flexibilité du nucléaire est limitée et pour évaluer les besoins de stockage de l'hydrogène produit sur excédents. En
janvier 2022 :
On
oublie trop souvent que le véritable objectif de
neutralité carbone est à l'échelle mondiale.
D'utre part, il ne faudrait pas oublier qu'il existe d'autres
objectifs, à l'échelle mondiale. Or notre
politique de neutralité carbone dès
2050 oublie
l'un et l'autre. C'est l'objet de cette note brève :
immigration,
développement, neutralité carbone . En décembre 2021 : sur la prospective de l'électricité, on a encore simplifié : une hypothèse de consommation d'électricité 900 TWh/an avant les pertes en ligne ; deux hypothèses sur la consommation nucléaire : 70 GW et 94 GW. L'article paru dans la Revue de l'énergie en juin 2021, la neutralité carbone sans trop de contraintes ni de dépenses, étudie des hypothèses légèrement différentes dont une qui entre dans le cadre d'une stratégie bas carbone menée conjointement avec quelques pays d'Afrique. En
octobre 2021 : . En
juillet 2021 : En juin 2021 : Une page a été ouverte au sujet de l'hydrogène. La simulation de l'ensemble du système énergétique (biomasse, électricité, chaleur, hydrogène, biocarburant, etc.) montre que l'hydrogène sera nécessaire ou utile dans l'industrie et le transport lourd et pour produire du biocarburant et du biofioul.. Plusieurs jeux d'hypothèses avec 30 GW nucléaire ou seulement 50 GW d'éolien et de photovoltaïque sont présentés et comparés. La simulation permet de distinguer une production d'hydrogène à partir des excédents de production d'électricité et une autre à partir du réseau. L'hypothèse d'un stockage de chaleur est introduite. Voir ici la page "hydrogène". En mai 2021 : Une page a été ouverte à propos du secteur du transport avec notamment une réflexion sur les véhicules électriques, les véhicules hybrides rechargeables, la production de biocarburant avec ou sans apport d'hydrogène, les besoins de batteries : un exemple des interactions entre les composantes du système de l'énergie et une note brève sur le sujet. Et une page de prospective sur l'énergie prenant en compte l'ensemble du système avec le tableau croisé des consommations d'énergie en 2070 et 2050 et la production d'électricité. En
avril 2021 : La
feuille de calcul qui donne un
tableau croisé de la consommation d'énergie
par secteur d'utilisation et pas type d'énergie a été
modifiée : les véhicules peuvent consommer du
carburant liquide, du biogaz, de l'hydrogène ou de
l'électricité ; les progrès d'efficacité
des moteurs thermiques et électriques sont différenciés,
la consommation d'électricité pour produire du
biocarburant et de l'hydrogène est calculée. Une
note brève :
Prospective
de l'électricité : aidons RTE à se libérer
du carcan qui lui est imposé En
janvier 2021 : l'étude
de l'ADEME et de RTE sur la consommation
d'électricité pour le chauffage des bâtiments
confirme que la loi qui a fondé la SNBC (stratégie
nationale bas carbone) s'appuie sur une étude d'impact
fallacieuse. Il faut une autre SNBC En décembre 2020 : une étude sur l'effet du nucléaire sur les émissions mondiales d'ici 2100, en se basant sur les scénarios de Message et sur une étude du Gisoc. Une note brève rappelle que le monde aura besoin de réacteurs de quatrième génération. L'arrêt du programme de recherche Astrid est une faute. En
juin 2020 :
la
pression se fait plus forte pour financer ou rendre obligatoires
des dépenses d'économie d'énergie dans le
bâtiment quoi qu'il en coûte. Or ce serait ruineux.
Avec l'accord de la revue, on publie ici l'article
paru dans le numéro de mai-juin 2019 de La Revue de
l'énergie , un des rares, à ma connaissance, où
sont présentées de nombreuses hypothèses y
compris celle de conserver les chaudières existantes et de
les compléter par une pompe à chaleur de faible
capacité, donc beaucoup moins chère. En avril 2020 : le premier écran du simulateur simplifié du système électrique SimelSP a été revu pour en faciliter l'usage : les cases où se trouvent les données entrées par l'utilisateur et les résultats des calculs sont bien différenciées par leur couleur ; les plus importantes sont distinctes : douze entrées et dix résultats. On a ajouté le coût de l'hydrogène produit avec les possibilités de production d'électricité excédentaires. Une version légèrement modifiée et complétée de l'étude prospective 2050 avec 50 % de nucléaire ou plus ou moins. Cette étude est également publiée sur le site de Sauvons le climat. En mars 2020 : on a mis sur ce site deux notes brèves sur l'hypothèse d'une production électrique sans nucléaire ni CO2, hypothèse que RTE doit étudier à la demande expresse de la ministre. Par ailleurs, est publiée une nouvelle étude prospective pour compléter ce que nous prépare RTE : les quantités livrées à la consommation finale sont, avant les pertes en ligne de 650 TWh par an (RTE fait l'hypothèse de 560 TWh), le nucléaire fourit 50 % de la consommation ou plus ou moins. Parc de production et de stockage, stabilité du réseau, effacements définitifs, production d'hydrogène, dépenses. En décembre 2019 : Après la très décevante COP de décembre 2019, un rappel de ce que l'on pouvait écrire il y a douze ans au sujet de la gouvernance mondiale. Rien n'a changé. La lutte contre les émissions passera par des accords entre Etats qui vont bien au-delà de la seule question des émissions et qui auront la bénédiction de l'OMC. Voir ici des extraits du chapitre 9 de Trop de pétrole ! En octobre 2019 : La page d'accueil a été complétée par une "en-tête" à l'attention des membres de la Convention citoyenne sur le climat sur le thème : "ne vous contentez pas de ce que l'on vous dit ; refaites vous-même le calcul des dépenses de production et choisisses vous-mêmes les hypothèses que vous souhaitez étudier sur la consommation d'énergie et sur les moyens de produire l'électricité ; des outils sont à votre disposition". Par ailleurs, l'outil de simulation du système électrique simule exactement ce qui devra être fait pour préserver la stabilité du réseau électrique s'il y a peu de nucléaire. La page donnant quelques résultats a été revue. En juin 2019 : Le projet de SNBC (stratégie nationale bas carbone) du gouvernement suppose une diminution de la consommation d'énergie par l'industrie comprise entre 25 et 30 %. Cela paraît très excessif. D'autre part le projet de diminution de la consommation pour le chauffage des logements existants est inutilement coûeux. On propose donc un contre-projet où la consommation d'énergie par l'industrie de 10 % et où les émissions de CO2 des logements sont évitées au moindre coût. Les dépenes seraient inférieures de 35 milliards d'euros par an à celles du scénario du gouverement. On publie donc deux tableaux cohérents où les émissions dues à la consommation d'énergie sont très faibles. Voir ici le contre-projet de SNBC. En avril et mai 2019 : une nouvelle "note brève" au sujet du projet de SNBC du gouvernement ; présentation d'un contre-projet avec plus de consommation d'électricité pour le chauffage. . Par ailleurs , le simulateur de production d'électricité indique maintenant comment répondre à la demande lorsque nucléaire, éolien, photovoltaïqu et hydraulique n'y suffisent pas . On recourt alors par ordre de prioriété au déstockage et au déplacement de consommation,, à la biomase, aux CCG à l'effacement définitif et aux moyens de production de pointe Le 10 janvier 2019 : la page "chaleur" a été complétée par une réflexion sur le coût de la rénovation thermique des logements existants. Une étude est en cours. On publie ici les hypothèses de coût. Il semblerait qu'il soit inutile de faire des dépenses pour diminuer la consommation d'énergie en deçà de 150 kWh/m2/an dans les cas des maisons individuelles, de 110 kWh/m2/an dans le cas de logements collectifs, sachant que les résultats sont très différents selon les situations. Le 30 novembre 2018 : la page d'accueil a été modifiée pour saluer la création du "Haut conseil de la transition énergétique" et lui poser les questions que tout le monde se pose sans jusqu'ici avoir de réponses : jusqu'où monteront les prix du fioul, du gazole et du carburant ? Combien coûtent l'arrêt de Fessenheime et le "50% nucléaire" ? Pourquoi faire ces dépenses ? Que faire pour que nos efforts soient utiles au monde en général ? Le 7 novembre 2018 : une analyse heure par heure pour monrer ce qui se passe lorsque l'on remplace la centrale de Fessenehim (1,7 GW) par des éliennes ou du photovoltaïque de façon à ne pas augmenter les émissions françaises de CO2 : il faut 7,5 GW d'éoliennes ou 18 GW de photovoltaïque. L'augmentation des dépenses est de 700 à 900 millions d'euros par an. Sait-on que désormais la taxe CO2 va payer le remplacement du nculéaire par des éoliennes et du phtovoltaïque, ce qui n'a aucun effet sur les émissions de CO2. Une autre note brève qui présente un bilan du débat PPE : il manque une étude indépendante sur les dépenses. Un article paru dans le Monde en mai, cosigné avec J.P. Finon, économiste : le 50% nucléaire n'a aucune justification économique. Le 14 octobre 2018 : voici un jeu d'hypothèses qui pourrait servir à ceux qui élaborent la programmation pluriannuelle de l'énergie, la PPE - à moins qu'ils ne la voient comme une provoca tion :-) : un scénario "zéro émission de CO2 et pas trop cher" sans augmentation de la capacité éolienne et photovoltaïque . Il suffit de 71 GW nucléaire. Voir ici. Le 2 septembre 2018: on publie l'article paru dans le numéro de la Revue de l'énergie en janvier 2018 : "le coût de la diminution de la capacité nucléaire". Cet article a été publié, avec l'accord de la revue, sur le site du débat sur la PPE, programmation pluriannuelle de l'énergie. Le compte-rendu du débat ne le mentionne même pas alors qu'il me paraît fort important dans un débat de publier non seulemnet ses conclusions mais aussi l'outil qui permet par lequel on les a obtenus. Voir aussi ici des précisions sur cet article. Le 15 juillet 2018 : un avis publié sur le site du débat sur la PPE montre pourquoi la décision de ramener le nucléaire à 50 % de la consommation est affligeante ; c'est le résultat d'une réflexion franchouillarde sans perspective, qui ne prend pas en considération les enjeux mondiaux ni la sécurité stratégique de notre pays., la pression migratoire, aide au développement, les émissoins mondiales de CO2. Voir aussi une note brève sur le même sujet. Et l'on a réordonné et simplifié la présentation des simulations faites pour répliquer les scénarios de RTE (50% nuclaire ou moins) et un autre scénario sans arrêter aucun réacteur nuclaire en état de fonctionnement. L'article "le coût de moins de CO2" paru dans la Revue de l'énegie de janvier février 2018 a été publié avec l'accord de la Revue sur le site du débat sur la PPE. Le voici. Le 5 juillet 2018 : La feuille de calcul simulant la production et la consommation d'électricité a été complétée pour pouvoir simuler correctement une consommation d'électricité effaçable définitivement ; ce sera le cas avec les véhicules hybrides et ce pourrait être le cas en ajoutant une résistance électrique ou une pompe à chaleur à un chauffage au fioul ou au gaz existant. Le 21 juin 2018 : au cours du débat sur la PPE, l'ADEME persiste à affirmer que son scénario où l'électricité est produite à 80 % à patir d'énergie renouvelable ne coûte pas plus cher que si ele était produite à hauteur de 40 % par du nucléaire. J'ai recherché précisémen comment elle arrive à ce résultat : baisse de consommation, insuffisance de capacités de production de pointe, etc. Il y a une autre raison qu'il faut aller débusquer : le nucléiare nouveau coûterait aussi cher que l'EPR de Flamanville. Quand on veut tuer son chien... Avec des hypothèses raisonnables, 80 % renouvelable coûterait 17 milliards d'euros par an de plus que sans plus d'éolien et de photovoltaïque qu'aujourd'hui.. Et une nouvelle note brève fait le rapprochement entre les besoins d'électricité et les possibilités de production photovoltaïque en Afrique, la pression migratoire les milliards que la PPE nous feraient dépenser inutilement, quoi qu'en disent RTE et l'ADEME. Le 14 juin 2018 : une nouvelle façon d'évaluer le surcoût des scénarios de RTE comparé au maintien de la capacité nucléaire. En fait, en utilisant la méthode de calcul des coûts de RTE (le calcul en "cash") la comparaison est extrêmement simple. Et le résultat est imparable : en reprenant sans les discuter les hypothèses de coût de RTE pour 2035, Volt obligerait à dépenser 11 milliards d'euros de plus que le maintien du nucléaire ; Ampère, 17 milliards d'euros par an de plus. Voyez ici comment RTE volens nolens nous donne les moyens de démontrer. que ses scénarios sont très coûteux. Le 1er juin 2018 : une nouvelle page pour préciser une intervention dans le débat PPE : le "pas plus de 50 % nucléaire" obligerait à dépenser chaque année 8 milliards de plus que si l'on n'arrête pas prématurément les réacteurs nucléaires et si l'on n'augmente pas la capacité éolienne et photovoltaïque. Toutes les hypothèses et les principaux résultats sont présentés de sorte que tout le monde peut vérifier les calculs, les refaire et introduire ses propres hypothèses de capacité et de coût.. Le 2 avril 2018 : on publie l'article "le coût de moins de CO2" paru dans le numéro de janvier-février 2018 de La Revue de l'énergie. On a relu et complété la feuille de présnetation du modèle de simulation. Voyez aussi la feuille ouverte à l'attention des lecteurs de la Revue de l'énergie . Le 16 février 2018 : Une nouvelle feuille est ouverte spécialement à l'attention des lecteurs de la Revue de l'énergie qui publie dans son numéro de janvier février 2018 un article "coût de la diminution de la capacité nucléaire", qui analyse pourquoi la diminution de la capacité nucléaire entraînera une augmentation des dépenss de production et de stockage d'électricité. Limiter le nucléaire à 50 % de la consommation, c'est augmenter les dépenses de 10 milliards d'euros par an environ. Au nom de quoi, étant donné que la perspective de "sortir du nucléaire" est irraliste comme le montre aussi l'article ? Cette feuille complète l'article eu calculant ce que seraient les dépenses si les coûts de production éolienne et photovoltaïque baissaient comme le suppose RTE dans un rapport récemment publié. Le 29 janvier 2018 : Le modèle de simulation de production et de consommation d'électricité a été complété pour tenir compte des limites de capacités des lignes d'interconnexion. Cela permet de voir immédiatement l'utilité marginale d'une augmentation des capacités. On peut voir ici. Le 20 janvier 2018 : Le débat sur l'avenir du nucléaire s'engage. Une progrmmation pluriannuelle a été décidée pour ce qui concerne les sources d'énergie renouvlables, notamment éoliennes et photovoltaïque. Il faudra analyser la relation entre capacités éolienne et photovoltaïque, capacité de production à partir de gaz et capacité nucléaire. On peut représenter capacités et productions éolienne, nucléaire et à partir de gaz par un schéma. Le 22 décembre 2017 : Le modèle de simulation de la production et de la consommation d'électricité a été légèrement modifié pour ternir compte du fait qu'une partie de la production à partir d'énergie fossile est en base, indépendante de la consommation et des autres sources de production - alors que jusqu'ici, dans cette simulation, la prodution à partir de gaz venait en complément, et dans la mesure du nécessaire, des productions sans émission de CO2. Après cette modification, les résultats de la simulation sont encore plus proches de la réalité, d'une part, des résultats d'autres simulations plus complexes, d'autre part. Le
17 décembre 2017 : Le
programme de 30 GW photovoltaïque annoncé par le
président d'EDF, soit une possibilité de production
de 36 TWh, coûterait au bas mot 2 milliards d'euros par an
et éviterait l'émission de 6,5 Millions de tonnes
de CO2 sans construction de nouvelles éoliennes, ou
seulement 2 ou 4 MtCO2 si l'on implante les capacités
éoliennes prévues par la programmation en cours.
Ce
programme est coûteux et ne sert donc pratiquement à
rien. Le 24 octobre 2017 : on parle de revoir le fonctionnement et, peut-être, le traité sur l'Union européenne. Cela doit évidemment concerner l'énergie. La rubrique qui en traite a été complétée : une intervention lors d'un colloque de Passages et une "note brève" : "l'Union européenne et les politiques de l'énergie" : pour ce qui est de l'énergie, une domaine qui relève de la responsabilité de l'Etat, l'Union européenne pourrait progresser avec des coopérations menées sur le même mode qu'en matière de défense. Le 29 septembre 2017 : si l'on tient compte d'une part des contraintes d'accès au réseau des énergies intermittentes et d'autre part de temps de décharge des moyens de stockage et du temps de réponse pour obtenir un report de consommation, en cas de faible capacité nucléaire on verra en même temps, par moments, un excès global de production et un défaut d'approvisionnement qui devra être comblé par des déstockages ou une production à partir de gaz. L'excès de production pourrait donc être stocké en même temps que l'on déstockera. La nouvelle version de la feuille de calcul permet de le simuler et d'en mesurer le coût.. Le 24 septembre 2017 : Comme la musique d'une possible diminution drastique de la capacité nucléaire se fait de plus insistante, il faut donner la primeur à une simulation qui tient compte des difficultés d'insertion sur le réseau des sources de production d'électricité intermittentes. C'est donc à cette feuille de calcul que ce site invite le visiteur à s'adresser. D'autre part, la feuille "quelques résultats" a été relue et simplifiée : le coût de la PPE ; le coût de l'interdiction d'aller au-delà de 63 GW nucléaire ; le coût du "pas plus de 50 % nucléaire" ; le coût du "zéro nucléaire", comparé au "zéro éolienne et PV". Le
20 septembre 2017 :
la feuille de calcul qui
tient compte des contraintes de réseau a été
revue et complétée d'une seconde page qui
récapitule l'ensemble des paramètres et des
principaux résultats, ce qui permet de les copier pour en
garder la mémoire et comparer aisément
différents jeux d'hypothèses. Le 2 septembre 2017 : la présentation de la feuille sur le calcul du coût de la production et du stockage d'électricité est améliorée de façon à être plus claire. Seule modification dans les calculs : le coefficient technique de disponibilité du nucléaire est modulable selon la saison. Le 17 juillet 2017 : une nouvelle note brève : ce qu'il faudrait dépenser en plus pour limiter à 50 % la place du nucléaire dans notre consommation d 'électricité. Le 2 juillet 2017 : la feuille sur le calcul du coût de la production et du stockage d'électricité est complétée. Dans tous les cas, la baisse de la capacité nucléaire se traduirait par un surcroît de dépenses de plusieurs millards d'euros par an, jusqu'à 50 milliards par an si l'on voulait sortir du nucléaire. Une nouvelle "note brève" montre ce que sont les dépenses inutiles qui seraient rendues obligatoires par la récente PPEr, programmation des investissements de production d'électricité renouvelable. Le 15 juin 2017 : une nouvelle "note brève" est publiée ainsi qu'un article paru dans le journal le Monde du 20 mai : éolien et photovoltaïque demeurent trop chers ; si la consommation d'électricité augmente, produire de l'électricité décarbonée sans nucléaire coûterait 50 milliards par an de plus qu'avec du nucléaire., comme on peut s'en rendre compte en utilisant la feuille de calcul publiée ici. Le 30 mai 2017 : la feuille de calcul qui simule un parc de production d'électricité a été améliorée sur quelques points. En particulier elle distingue les batteries et les Steps ; de plus elle est accompagnée d'une notice technique et d'une note qui commente les rendements et les coûts tels qu'ils sont publiés, sachant que l'utilisateur peut les modifier facilement. Le 18 mai 2017 : On nous parle beaucoup de développement de l'électricité renouvelable, éolienne et photovoltaïque. Comme elles sont coûteuses, à cause de l'intermittence et du coût du stockage, elles n'auraient de sens qu'avec la volonté de voir disparaître à plus ou moins longue échéance le nucléaire. Pour cette raison parmi d'autres, il est intéressant d'évaluer les dépenses de production et de stockage d'électricité quel que soit le parc de production. Nous publions ici une feuille de calcul qui le permet ; elle est sommaire mais ce qu'elle nous dit est fort instructif. Le 7 février 2017 : Au sujet du prix du pétrole, il est difficile de faire des prévisions. Mais on peut réfléchir à l'intérêt des pays producteurs, des pays exportateurs et de pays autonnomes en énergie. Les pays exportateurs ont évidemment intérêt à une hausse de prix. Maintenant que les Etats-Unis sont à peu près autonomes, ils y ont intérêt aussi. Et l'Arabie Saoudite a obligé les autres pays à bas coût de production à se rendre compte in vivo de l'intérêt qu'ils ont à s'entendre pour limiter leur production. C'est l'objet de deux notes brèves et d'un article paru dans le Monde du 2 février 2017. Le
8 janvier 2017 : Il
est tentant de penser qu'un impôt CO2 à la
consommation, en faisant monter les prix, donc en faisant baisser
la consommation, aurait pour effet de faire baisser les prix
mondiaux. Cela peut être vrai tant que les pays producteurs
à bas coût ne se sont pas entendus pour diminuer
leur production, faisant augmenter les prix jusqu'à un
niveau qui rendrait inutile un impôt dans le pays de
consommation. Voir ici une
note qui analyse le phénomène, à partir de
données plausibles mais non exactement réelles. Le 27 novembre 2016 : Le débat sur le nucléaire déborde largement le champ technique et économique. C'est dans cet esprit que j'ai rédigé, en 2012, Avzc le nucléaire - un choix raisonné et responsable . On trouvera ici son dernier chapitre : "Au nom de quoi accepter le risque nucléaire". Le 5 novembre 2016 : J'ai eu récemment un débat avec de bons connaisseurs de l'économie de l'énergie qui pensent qu'un impôt sur la consommation d 'énergie fossile aura pour effet de faire baisser le prix des énergies fossiles. C'est exact, mais seulement à condition que les pays producteurs à bas coût ne s'entendent pas entre eux. Or ils ont grand intérêt à s'entendre ! J'ai essayé de chiffrer cela à l'aide d'une simulation grossière : rien que pour le pétrole, l'enjeu est, pour ces pays à bas coût de production, de l'ordre de 1000 milliards d'euros par an. Voici une note présentant cette simulation et ses résultats. Il n'est pas indifférent de voir la Russie et le Vénézuéla se rapprocher de l'OPEP. Le 5 mai 2016 : quelques lecteurs estiment que, selon les propositions de politique publique présentées ici, l'Etat en ferait trop. Tout a contraire la philosophie qui inspire ces textes est de limiter le rôle de l'Etat tout en en montrant le caractère essentiel . Cela avait été exprimé dans Trop de pétrole ! en une page publiée ici. Quelle politique de l'électricité ? Aujourd'hui, la situation est catastrophique : les prix ne permettent pas de financer les investissements. La méthode la plus simple serait d'instituer un "acheteur-vendeur unique" d'électricité. Le 9 mars 2016 : j'ai relu la présentation et les commentaires sur Trop de pétrole ! rédigés peu après la sortie du livre en 2007. J'y ai apporté quelques corrections ou précisions pour les mettre à jour. Mais je ne suis pas mécontent de constater qu'il y a fort peu de choses à changer ! Il y avait (presque) tout dans Top de pétrole ! :-) J'ai relu aussi les commentaires sur le Pacte écologique de N. Hulot. Ils me paraissent tout à fait d'actualité. Le 5 mars 2016 : un nouveau document qui tente d'évaluer les coûts externes de la production et de la consommation d'énergie. Le sujet est très difficle. Les sources d'information fournissent des évaluations très différentes. Nous avons retenu : subsidies and cost of EU energy" (2014) ; ""economic cost of the health impact of air pollution in Europe (OCDE, OMS, 2015) et le -Rapport au nom de la commission d’enquête du Sénat ur le coût économique et financier de la pollution de l'air - juillet 2015. Selon ces sources, on ne peut aller au-delà des ordres de grandeur ; ils sont significatifs. Le 7 février 2016 : une nouvelle entrée : le nucléaire. Elle donne les liens vers "qui ne veut pas d'une augmentation de la capacité nucléaire", vers le tableur qui permet à chacun de calculer le coût du nucléaire, vers Avec le nucléaire (Seuil, 2012), et vers "Au nom de quoi accepter le risque nucléaire", qui est le dernier chapitre de Avec le nucléaire : je le publie intégralement car le débat sur le nucléaire ne se limite pas à des considérations techniques ou économiques ; il invoque des valeurs telles que la relation à la nature, la sobriété, la démocratie ; or; sr le terrain des valeurs, le nucléaire a de beaux arguments à faire valoir. Le 15 janvier 2016 : un dossier sur prix et coût du CO2. Il y avait déjà sur le site quelques notes traitant du sujet. Mais, pour convaincre tous ceux (et ils sont nombreux) pour qui il faut "donner un prix au CO2" que cette approche est malcommode et ambiguë, il faut pousser l'analyse. Pour orienter une politique, le coût du CO2 n'est pas un bon guide. Le bon guide est le prix à la consommation de l'énergie fossile. Par ailleurs, est publiée une étude chiffrée sur la façon de financer des investissements bas carbone, efficacement et sans effet d'aubaine, à l'aide du produit d'un impôt sur le CO2: résultat de plusieurs simulations. Le 07 janvier 2016 : une "note brève" : quelques oubliés de l'accord de Paris : le rôle des océans sur la température, le rôle des pays exportateurs d'énergie fossile sur le prix du CO2 et l'aide aux pays en développement, le rôle de l'OMC pour rendre possibles des marchés de CO2. Le 12 novembre 2015 : une "note brève" : "comment les pays exportateurs de pétrole, de gaz et de charbon pourraient assurer le succès de la COP – mais à quel prix !" ; le plus "simple" serait que les pays exportateurs de pétrole, gaz et charbon limitent leurs exportations pour "aider" les pays consommateurs à respecter leurs engagements, ce qui ferait montrer haut les prix. Ils pourraient utiliser une partie de leurs super-bénéfices pour aider les pays en développement ! Pour la France, ce seraient des dizaines de milliards d'euros versés chaque année à des pays qui pourraient se flatter, par exemple, de financer (avec ce que nous leur auront versé) l'équipement de l'Afrique en énergie renouvelable ! Improbable ? Aujourd'hui sans doute, mais demain ? Le 5 octobre 2015 : un complément à la note "calculez vous-même le coût du nucléaire" : combien coûtera l'électricité produite par des réacteurs en fonctionnement aujoud'hui dont la durée de vie sera prolongée de 10 ou 20 ans à la suite d'importants travaux de remise à niveau : pour les produire on dépensera entre 35 et 45 €/MWh de plus que si l'on ne les produisait pas. Et cela sera valable dans les vingt à trente ans à venir. Qu'on ne nous dise donc pas qu'il faudrait réduire la capacité nucléaire au motif le protoype EPR de Flamanville est coûteux ! En avril 2015 : une "note brève" sur le financement des investissements "bas carbone". Cette note a été publiée dans le journal Le Monde le 16 avril 2015. Le 27 janvier 2015 : en 2014, la Cour des Comptes a mis à jour les calculs qu'elle avait faits trois ans plus tôt pour évaluer le coût du nucléaire. Elle a revu le coût de production par les réacteurs existants en intégrant de nouvelles prévisions de dépenses d'investissement et une augmentation des dépenses de fonctionnement. Elle n'a pas voulu calculer le coût de production par un EPR "de série". Le tableur publié ici permet de calculer ce coût. Le nouveau rapport de la Cour des comptes ne modifie pas les hypothèses que je proposais. Ce tableur montre pourquoi le coût pourrait être de 70 €/MWh si le coût de la ressource fnancière est de 8 % en monnaie constante. Le 12 janvier 2015 : trois nouvelles "notes brèves" : sur le chauffage hybride (qui, à mon avis, permettrait de ne pas avoir besoin de nouvelles capacités de "stockage d'électricité" ni de coûteux "réseaux intelligents"), sur le projet de loi sur l'énergie (où il suffirait de remplacer "économie d'énergie" par "économie d'énergie fossile" et de supprimer tout cotingentement de la capacité nucléaire, dont le projet de loi ne donne aucune justification), et sur les négociations sur le climat (où je fais deux propositions qui me paraissent de bon sens et dont personne ne parle !). Le 18 décembre 2014 : une version légèrement modifiée - et plus facile à lire - de l'étude sur le chauffage hybride. On a mis en annexe les résultats de plusieurs jeux d'hypothèses. Pour que ce système se développe, il est nécessaire de donner à l'électricité effaçable à l'initiative du fournisseur un prix qui reflète les avantages qu'elle procure à la gestion du système électrique ; le plus simple serait d'ajouter une ligne au tarif Tempo. Le 27 octobre 2014 : une étude sur le chauffage hybride, électricité et fioul ou gaz montre qu'en combinant deux formes d'énergie dont l'une se stocke et l'autre ne se stocke pas, il est possible d'éviter les mointes de consommation, de répondre aux fluctuations du vent et du soleil au moindre coût sans avoir besoin de "stockage d'électricité" ni de coûteux "smart grids". De plus, ce type de chauffage permet de continuer d'utiliser chaudières au fioul ou au gaz tant qu'elles peuvent fonctionner. Ajoutons que la combinaison de l'électricité et d'autres formes d'énergie permet de produire de l'électricité de chauffage presque sans émissions de CO2, contrairement à ce que l'on raconte beaucoup trop souvent. Le
9 février 2014 : les
douze "notes brèves"
(un page chacune) sur énergie et effet de serre ont
été complétées par une
synthèse -
d'une page seulement, bien sûr ! Il se peut que cette
synthèse soit un peu elliptique ; alors merci de se
référer tout d'abord aux notes brèves puis à
Moins
de CO2 pour pas trop cher
ou
à Avec
le nucléaire
ou
encore à ce qui est écrit sur ce site - voyez ici
une présentation organisée
du contenu du site ! Et n'hésitez pas à me
faire part de vos questions ou objections - elles m'ont déjà
permis d'améliorer ce qui est écrit sur ce
site. Le 28 juin 2013 : maintenant que le débat sur l'énergie touche à sa fin, la page d'accueil a été modifiée. On peut être satisfait que la question des coûts soit enfin apparue. On a entendu Mme Batho parler de compétitivité des entreprises et de pouvoir d'achat des ménages. C'est nouveau ! Au Parlement maintenant, et au gouvernement d'en tirer les conséquences ! Dans le même esprit, la page sur la chaleur dans les bâtiments est complétée d'un calcul ultra-simple qui montre qu'avec des pompes à chaleur branchées sur un chauffage central au fioul ou au gaz il est inutile de dépenser des fortunes pour diminuer les pertes thermiques des bâtiments existants. Le 21 février 2013 : Sur la page d'accueil, est ajoutée une adresse à tous ceux qui participent au débat sur la transition énergétique. Je l'ai rédigée après avoir lu la circulaire de la ministre aux préfets. Cette circulaire trace un cadre très étroit au débat, ce qui est contradictoire avec l'idée même d'un débat sur l'énergie. De plus, le ministre de l'environnement allemand vient d'annoncer le coût du programme allemand, 1000 milliards d'euros, ce qui valide (en ordre de grandeur) les estimations faites ici du coût d'une diminution de la capacité nucléaire. Le 9 février 2013 : le tableur qui permet de calculer les dépenses de prodution, de consommation et d'économie d'énergie dans le bâtiment a été modifié pour identifier le rôle des pompes à chaleur. Les dépenses dépendent en effet beaucoup du coût des PAC et de leur coefficent de performance, le COP. Par ailleurs, le tableau croisé de ressources et emplois d'énergie qui sert de référence sur ce site a été très légèrement modifié. Le tableur qui permet de dresser ces tableaux a en effet reçu quelques modifications mineures : le rapport entre production et consommation d'électricité a été rabaissé de 1,15 à 1,12 (pour tenir compte du passage à l'enrichissement de l'uranium par centrigugation) et il tient compte (ce qui était oublié antérieurement) de la consommation d'énergie pour produire du carburant. Le 20 janvier 2013 : pour diviser les émissions de CO2 par trois, un lecteur m'a fait remarquer qu'il pourrait être intéressant d'expliquer comment j'ai fait passer mes hypothèses de capacité nucléaire de 124 GW en 2007 à 94 GW en 2012 : un peu plus d'isolation thermique, beaucoup plus de PAC donc plus de carburant pétrolier et moins de biocarburant (dont la production, pour utiliser complètement la biomasse, demande beaucoup d'électricité). Voir plus de détails ici. N'hésitez pas à faire votre propre scénario ! Le 16 janvier 2013 ; Moins de CO2 pour pas trop cher est disponible. On peut se le procurer chez L'Harmattan,. J'ai ajouté à la page des commentaires un résumé de l'annexe "des erreurs souvent répétées" et de l'annexe qui synthétise les propositions. Par ailleurs, j'ai corrigé une erreur de recopie dans le tableau - au demeurant tout à fait irréaliste - qui suppose que les émissions sont divisées par trois, la capacité nucléaire étant ramenée à zéro. Le 7 janvier 2013 : Comme contribution au débat national sur l'énergie, après Avec le nucléaire, le livre Moins de CO2 pour pas trop cher - propositions pour une politique de l'énergie va être publié dans quelques jours (autour du 15 janvier). Il est accompagné sur ce site d'une page de commentaires, de compléments, avec la table des matières. Le 3 janvier 2013 : En décembre 2012, EDF annonce que le coût de l'EPR de Flamanville ne sera pas de 6 milliards d'euros mais de 8,5 milliards ! Une paille ! Pour voir l'effet du coût du réacteur sur le coût de production d'électricité, un tableur permet à qui le veut de calculer le coût de production après avoir introduit ses propres hypothèses non seulement sur le montant initial de l'investissement mais aussi sur le coût du démantèlement, sur le coût du financement, etc. Bien sûr, si l'électricité nucléaire coûte 70 €/MWh au lieu de 60 €/MWh (ce que j'ai calculé pour Avec le nucléaire et pour Moins de CO2 pour pas trop cher), le coût d'un programme de diminution de la capacité nucléaire diminuera quelque peu. Mais il restera considérable. Plus de 25 milliards par an au lieu de 35. Le 26 décembre 2012 : Pour calculer les dépenses dans le logement existant, un nouveau tableur permet de traiter spécifiquement le cas des pompes à chaleur. La logique économique d'une pompe à chaleur est en effet différente de celle de l'isolation car elle permet de diminuer la quantité d'énergie "finale" (celle que l'on paie) sans diminuer la quantité d'énergie utile (celle qui sert à chauffer). Elle permet ainsi d'éviter des dépenses d'isolation thermique lorsque celles-ci deviennent trop onéreuses. Le 11 décembre 2012 : J'annonce en page d'accueil la parution prochaine d'un livre : "moins de CO2 pour pas trop cher - propositions pour une politique publique" chez L'Harmattan. On y fait des propositions très concrètes de politique de l'énergie en répondant aux critiques que ces propositions ont parfois soulevées : se donner comme objectif de limiter la consommtion d'énergie fossile, non pas la consommationd 'éenrgie, fixer un critère de coût maximum indépendant du prix du pétrole, créer un impôt qui élève progressivement le prix à la consommation finale, mettre en place des moyens de financement à la fois efficaces et évitant les effets d'aubaine, etc. On s'appuie pour cela sur les tableaux de ressources et emplois d'énergie exposés dans Avec le nucléaire (Seuil). On y rappelle la façon de calculer le coût du "moins de nucléaire" : des dizaines de milliards d'euros par an. Le
16 novembre 2012 : trois
commentaires parus dans la presse : Alternatives économiques,
les Echos, l'Humanité, avec une brève réplique.
Et aussi la présentation parue dans Esprit, qui a été
ajoutée un peu plus tard - elle aussi est très
favorable mais il est dommage qu'elle me reproche de voir dans le
nucléaire une alternative à la sobriété
alors que j'avais anticipé cette remarque pour la
réfuter. Le
29 août 2012 : Sur
la page relative à Avec
le nucléaire a
été ajouté un
commentaire sur les tableaux ressources-emplois d'énergie
(avec une augmentation de la capacité nucléaire, il
y a autant d'énergie renouvelable que nucléaire) et
sur la façon dont est calculé le coût de la
stabilisation ou de la réduction de la capacité
nucléaire. On trouvera aussi le texte d'un article
paru dans le Figaro du 28 juillet sur les véhicules
hybrides et électriques. Le 24 avril 2012 : L'annonce sur la page d'accueil de la prochaine parution de Avec le nucléaire - un choix raisonné et responsable - Seuil ; sortie prévue le 7 juin. Le 13 mars 2012 : Dans "moins de CO2 pour pas trop cher", le tableau de production et consommation d'énergie de 2009 a été remplacé par le même pour 2010, dressé à la lecture du "bilan énergétique pour la France" du ministère de l'écologie et du développement durable. Le 15 janvier 2012 : est mis sur le site un texte complet : "moins de CO2 pour pas trop cher - propositions pour une politique de l'énergie." Le 11 janvier 2012 : Une feuille de calcul permet d'avoir une idée du coût des économies d'énergie ou de la tonne de CO2 évitée dans le bâtiment existant par des travaux d'isolation thermique ou par un changemet de mode de chauffage. Six modes de chauffage sont présentés. Cette feuille est soumise à la sagacité des lecteurs ; il peut s'y trouver des erreurs (malgré tout le soin qui y fut apporté, bien sûr !). Les conclusions - provisoire, donc - sont assez savoureuses : si l'Etat limite la quantité d'énergie, le gaz passe devant ; si l'Etat limite la quantité d'émissions ou si la régulation passe par une taxe qui élève le prix du fioul et du gaz, le gaz passe derrière : il coûte plus cher et il émet plus. Le 22 décembre 2011 : Après la conférence de Durban, il apparaît de plus en plus nécessair de partir des besoins des pays en développement. Or en 2009 j'ai travaillé pendant un an sur la politique de l'énergie du Vietnam, dans le cadre d'un protocole de coopération institutionnelle entre la France et le Vietnam. On peut consulter ici la synthèse de ces travaux ou un résumé de cette synthèse. Il est très intéressant de voir dans quelles limites un pays en pleine croissance peut contenir ses émissions de CO2. Le 6 décembre 2011 : On nous parle beaucoup trop dans la presse et dans les dicsours officiels des créations d'emplois prétendument suscitées par la production d'électricité renouvelable. C'est une blaque ! Comme cela est démontré ici, les éoliennes et le photovoltaïque détruiront des emplois ou, ce qui revient au même, empêcheront de financer des emplois dont notre société à grand besoin : enseignants, assistants sociaux, chercheurs, policiers, etc. Le 6 novembre 2011 : Un article publié par la Revue de l'énergie d'octobre 2011 donne une évaluation de ce que que coûterait le refus d'augmenter la capacité de production d'électricité nucléaire. Sur ce site, on verra les tableaux de ressources et d'emplois d'énergie qui me permettent de faire cette évaluation. On peut aussi se référer à l'article :"qui ne veut pas d'une augmentatoin de la capacité nucléaire, des convergences remarquables". D'autre part, l'augmentation du coût de l'électricité (les difficultés de construction de l'EPR et les suites de l'accident de Fukushima) conduisent à revoir à la hausse le critère de coût maximum des actions utiles pour diminuer les émissions de CO2 : 1,8 €/litre à la pompe, 1400 €/m3 de fioul TTC, 140 €/MWh de gaz (abonnement compris) TTC. Le critère de coût s'énonce ainsi : une action utile est une action qui serait économiquement intéressante si le prix de l'énergie fossile était à ce niveau. Ce niveau ne dépend pas du prix du pétrole. Le 19 septembre 2011 : Dans un article paru dans le Figaro le 19 août, je montre que si la France renonçait à la moitié des capacité éoliennes et phtovoltaïques prévues pour 2020 par le Grenelle de l'environnement, elle séconomiseriat des milliards d'euros par an, pouvant servir à éradiquer le SIDA (évitant des milions de morts) ou, plus près de nous, à créer des dizaines de milliers de postes d'enseignants, de chercheurs, d'éducateurs ou de policiers. Par ailleurs le RTE a publié un bilan prévisionnel de l'électricité qui prend comme hypothèse que la capacité nucléaire n'augmentera pas d'ici 20 ans et que la capacité éolienne et photovoltaïque augmentera beaucoup. Un article est en préparation qui montrera ce que de telles hypothèses nous coûteraient en emplois utiles, en émissions de CO2, en milliards d'euros et en perte de liberté individuelle. Le
23 juin 2011 : Le
11 mars, l'accident de Fukushima fut un coût de tonnerre.
Trois mois plus tard, on se rend compte que les conséquences
sanitaires seront très limitées. Par contre des
milliers de personnes sont éloignées de chez elles
et ne savent pas quand elles pourront retrouver leur logement et
leurs terres. Cet accident ne remet aucunement en question les
possibilités techniques et économiques de
production et de consommation d'électricité en
France. Mais on cherchera sans doute à diminuer les
besoins d'électricité nucléaire. Le
scénario de référence a été
revu pour
aller dans ce sens tout en conservant la même ligne
directrice (rechercher le moindre coût et ne pas exiger des
changements de comportement inutilement coûteux). La
production de biocarburant sera moins importante, pour consommer
moins d'électricité. L'augmentation de capacité
nucléaire prévue dans ce scénario correspond
à un remplacement un pour un des réacteurs
existants par des réacteurs EPR plus puissants. Il est
toujours possible d'établir son
scénario avec ses propres hypothèses.
Le 3 mars 2011 : dans la liste des erreurs courantes, on en a ajouté une : "se féliciter de la hausse du prix mondial du pétrole, au motif qu'elle nous incitera à diminuer nos émissions". C'est une énorme erreur ; c'est considérer que notre pays (Etat et citoyens) est incapable de se prendre en main. Par ailleurs, on ajoute une référence à l'article, paru dans la Revue parlementaire : "Il serait possible d'avoir une politique de l'énergie claire et peu coûteuse". Le
2 mars 2011 : voici
près de sept ans que ce site a été ouvert et
mis à jour régulièrement. Il en devenait un
peu confus. Une table qui présente
de façon ordonnée les documents de ce site
permet de s'y retrouver. La page "comment
convaincre" a été refondue avec celle qui
va avec, sur les avantages externes,
qu'il faut considérer avec réalisme. Par ailleurs,
on trouvera des commentaires sur deux livres climato-sceptiques
récents de B.Rittaud et
C. Gérondeau et sur un
long article de H. Atlan paru
dans le Monde. Se trouvent donc sur ce site huit commentaires,
quatre de climato-sceptiques et quatre d'alarmistes dont
plusieurs sont anti-nucléaires - in
medio stat virtus -
n'est-ce pas ? Le 3 décembre 2010 : voici enfin une note sur "le coût du réacteur nucléaire évité". On se demandait ce qui pouvait expliquer les décisions les plus coûteuses du Grenelle de l'environnement : des décisions qui visent à diminuer la consommation d'énergie sans diminuer les émissions de CO2. Je me doutais bien que c'était pour ne pas augmenter la capacité nucléaire. Cela m'a été confirmé par une remarque entendue dans un colloque : un antinulcéaire faisait état de la "paix des braves" conclue au moment du Grenelle entre antinucléaires et gouvernement (ou au moins le ministre chargé de l'environnement) pour figer la situation sur le nucléaire. Fort bien ! Il était donc judicieux de calculer le coût du réacteur EPR évité par les décisions de Grenelle : éolien, photovoltaïque et réglementation thermique. On arrive à un surcoût de 1 à 4 milliards d'euros par an et par réacteur nucléaire évité. Une paille ! Le
17 octobre 2010 Le
24- 28 septembre 2010 : Le
7 juillet 2010 Le
3 juin 2010 Le
21 février 2010 Le
16 janvier 2010 Le
15 janvier 2010 Le
6 janvier 2010 Le
4 janvier 2010 Le
10 décembre 2009 Le
8 décembre 2009 Le
9 septembre 2009 Le
27 décembre 2008 Le
9 novembre 2008 Le
22 octobre 2008 Le
4 octobre 2008 Le
6 août 2008 Le
2 juin 2008 Le
22 décembre 2007 Le
6 février 2007 Le
18 janvier 2007 Le
8 janvier 2007 Le
25 novembre 2006 Le
20 novembre 2006 Le
10 octobre 2006 Le
22 Août 2006 Le
10 mai 2006 Le
23 avril 2006 Le
15 février 2006 Le
5 février 2006 12
décembre
2005 24
octobre
2005 20
octobre
2005 14
octobre 2005 13
octobre 2005 8
juillet 2005 16
juin 2005 3
juin 2005 24
avril 2005 23
mars 2005 21
mars 2005 10
mars 2005 28
février 2005 10
février 2005 22
janvier 2005 17
janvier 2005 10
janvier 2005 9
janvier 2005 6
janvier 2005 2
janvier 2005 31
décembre 2004 28
décembre 2004 27
décembre 2004 22
décembre 2004 17
décembre 2004
: 14
novembre 2004
: une feuille sur "La
France, l'Europe, le monde" 13 novembre 2004 : une note de réflexion sur la fiscalité de l'énergie, pour atteindre un objectif de division par trois des émissions : il y a taxe et taxe. 2 novembre 2004 : un complément sur le technique de production de biocarburant : la voie biologique 30 octobre 2004 : on a modifié le texte sur les "coopérations renforcées" (merci au lecteur qui m'a donné de bonnes informations) 28 octobre 2004 : on a regroupé ce qui a trait au biocarburant et l'on a indiqué les hypothèses de calcul ; on a apporté une modification et des précisions au sujet de l'impact des aides à l'agriculture sur le coût de production du biocarburant. On indique l'adresse d'un site internet du ministère de l'industrie très riche en données sur l'énergie. 24 octobre 2004: introduction d'un fichier sur la méthode que nous avons utilisée pour dire quel devrait être le niveau du prix de l'énergie pour pouvoir diviser les émissions par trois 20
octobre 2004
: introduction
d'une page actualités avec :
la ratification du protocole de Kyoto par la Russie, la hausse du
prix du pétrole, l'effet sur la
valeur des quotas d'émission et les questions que cela
pose (ce sujet
est désormais traité
ici )
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